•  

    Alors celui-là il est vraiment très sympathique… j’aime bien le pipit farlouse, mais je ne suis pas sûre de l’avoir croisé, alors que l’huîtrier, lui, oui, je l’ai vu !

     

    L'huitrier pie, c'est notre ami

    Il est charmant : un petit cri relativement aigu mais pas strident, assez discret ; un bec assez long et rouge qu’il plante dans le sable pour trouver de quoi se nourrir ; et une « robe » noire et blanche au-dessus de pattes rouges. On le voit en soirée, alors que la marée est basse et qu’il se balade en poussant de petits cris.

     

    On le remarque facilement, il n’est pas très farouche et ne montre aucune agressivité. Il pose même pour la photo si on sait être courtois avec lui et ne pas faire durer la séance trop longtemps. Il cohabite avec les canards de l’Atlantique (alias les bernaches ou tadornes… oui bon, c’est plus savant mais moins évident que canard !!) gentiment, sans faire d’histoire.

     

    Oui, sans aucun doute, par sa courtoisie, sa discrétion et ses couleurs, l’huîtrier pie a su devenir notre ami ! ( et pan, prends toi ça le goéland !)

     


  •  

     

    Ce petit oiseau se fait déjà remarquer par son nom : comment ne pas succomber à la drôlerie de ce nom dont l’ont affublé les biologistes ?!! 

     

    Ce petit oiseau que, d’ores et déjà nous trouvons sympathique (n’est-ce pas), se promène le long de la plage et sur les zones herbeuses de Tatihou. Il est relativement petit mais dispose de pattes qui font que l’on peut le considérer comme un échassier. Ses plumes sont grises, il a des petits yeux noirs, et des tâches sur le ventre.

     

    Mais, en cette saison de ponte des Goélands, où se cache donc notre ami le pipit ? Est-il lui aussi intimidé par les cris et le comportement pour le moins guerrier de ses colocataires de l’île ? Est-il  de ces oiseaux qui migrent et qui n’ont pas encore atteint leur destination d’été ? … Bref, nous le cherchons avec une impatience à peine feinte !

     

    On croit l’apercevoir se cacher dans une touffe d’herbes ou de fleurs…  voleter au dessus de la zone supralittorale (là, je fais la maligne, mais je viens d’apprendre cette expression) à la recherche de sa pitance… on le photographie, Ô miracle… Mais est-ce bien lui ?

     

    Pour le moment, nulle réponse à cette question : on doute, on espère, mais on n’est pas certain ! On le saura sans doute demain, puisque vendredi, c’est ORNITHOLOGIE !!!

    PS du vendredi : et ben non c'est sûr on ne l'a pas vu!

     


  •  

    Ou comment le goéland défend son territoire.

     

    Nous avons déjà vu dans le précédent épisode que le goéland était prompt à mettre à des coups de becs dans le crâne de visiteurs indésirables…. Mais leur stratégie ne s’arrête pas là…

     

    Ils savent aussi repérer l’ennemi alors qu’ils lui tournent le dos, s’envoler en troupeau… pour mieux revenir face au visiteur en s’ingéniant à mettre en place une stratégie d’intimidation qui a l’air bien rodée ! Et qui consiste en quoi ??? 

    ·         A tournoyer autour de votre tête en s’approchant de plus en plus 

     

    ·     A pousser des cris perçants, insistants et (on peut l’avouer) stressants de façon continue (enfin, juste le temps de reprendre leur respiration entre deux cris !)  

    ·         A finalement se poser face à vous dans un dessin obéissant à des lois naturelles bien connues (type vol d’oies sauvages), vous regardant d’un œil menaçant, et poussant toujours des cris… 

             A renouveler l’opération vol en troupeaux, position de soldat romain face à l’assaillant autant de fois que nécessaire pour faire fuir le susdit visiteur indésirable.

     

    Le manège incessant de la colonie vous dissuade finalement de poursuivre votre chemin…  indésirable vous étiez, indésirable vous êtes et serez ! Vous faites demi-tour tout penaud, rageant intérieurement de vous laisser avoir par un troupeau d’oiseaux mal embouchés ! Au moins la mouette elle rit, elle !!!

    Le Goéland - épisode 2

     


  • Petite pause après déjeuner...


  •  

      Mercredi soir, nous sommes allés dans la tour de Vauban de Tatihou pour une veillée à la lueur des bougies, pendant laquelle nous avons contés quelques petites histoires «à faire peur».

    Petit oubli : la veillée à la Tour!

    Par la suite nous avons joué au célèbre jeu «Le Loup Garou» dans une ambiance sinistre, bref c’était LA veillée du séjour.

    Petit oubli : la veillée à la Tour!

     






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires